Suite à la progression du Covid-19 sur le territoire gabonais, l’entreprise Assala, deuxième producteur de pétrole au Gabon, avait ralenti ses activités. Elle a récemment annoncé que ses engagements envers le secteur de l’énergie du Gabon n’ont pas changé et elle a mis en œuvre une stratégie pour redémarrer.
Le Covid-19 est à l’origine de bien des maux, en plus des pertes humaines qu’il a déjà causées, il plonge l’économie mondiale dans des difficultés plus que complexes et ralenti l’activité. Plusieurs entreprises ont dû limiter ou arrêter leur production pour préserver la santé des employés. C’est le cas d’Assala Gabon qui compte bien se relancer pour redynamiser sa production.
«Bien entendu, les différentes restrictions mises en place par les gouvernements nationaux et internationaux ont eu un impact sur notre logistique, et notamment les mouvements de nos équipes. Mais tout ce qui est fait pour protéger la santé et la sécurité a notre soutien. Notre responsabilité est de s’assurer que nos projets prévus pour 2020 restent valables et nous sommes prêts à les redémarrer dès que la situation le permettra», a expliqué Jean-Yves Grall, directeur général d’Assala Gabon.
L’entreprise continue de se préparer pour un retour rapide à son niveau d’activité pré-Covid-19. Les équipes travaillent actuellement sur des projets visant à augmenter la capacité de production future, deux appareils de forage ont été gardés sur ses sites, prêts à être réactivés par les équipes dès que les restrictions de mouvement seront levées.
«La Covid-19 a ébranlé les économies mondiales et changé notre façon de travailler. Cela n’est pas facile pour tout le monde et il est important de se tendre la main en ces temps difficiles. Nous continuons à soutenir l’emploi gabonais et avons intensifié nos efforts pour appuyer les économies des communautés locales qui travaillent autour de nous, en préservant l’emploi communautaire autant que possible dans un contexte de confinement et de réduction de l’activité et en poursuivant notre soutien logistique pour acheminer les biens, les équipements et pour contribuer aux services de base tels que la téléphonie mobile et la fourniture d’eau et d’électricité», a ajouté Jean-Yves Grall.
FGM
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