Impulsé par la vision d’ Ali BONDO ONDIMBA , l’État gabonais lance un avis à manifestation d’intérêt pour le recrutement d’un consultant à fin de mener des études pour la réalisation de la route Medouneu-Sam-Bibasse via Oyem dans le septentrion .

En effet , ce consultant aura pour mission de réaliser des études pour permettre la  réalisation des travaux de la route indiquée qui désengorgera fort bienla neuvieme province du Gabon. À savoir , l’étude socioéconomique, l’étude d’impact environnemental et social, l’étude d’avant-projet détaillé (APD). Il aura entre autre pour mission de s’occuper de l’élaboration de l’ensemble des plans (vue en plan, profil en long, profil en travers type, plan type de différents ouvrages), l’élaboration du devis confidentiel, l’élaboration du dossier d’appel d’offres (DAO), à confectionner selon le modèle en vigueur disponible sur le site web de la Banque, précise  la tutelle.

Financée par un prêt du groupe de la Banque africaine de développement (BAD) et celui de l’Africa growing together fund (AGTF) , la construction de la route Medouneu-Sam-Bibasse est  pour  les autorités gabonaises plus qu’une priorité, car cette infrastructure routiere  permettra non seulement de booster les échanges entre les différentes provinces du Gabon , mais aussi de facilter la fluidité des déplacements des personnes et des biens.

De plus , cette route permettra à l’ensemble des agriculteurs des zones qu’elle parcoure , de convoyer  aisement  le fruit de leur  productivité  aux points de vente souhaités  .

Notons que cet appel à manifestation est lancé dans le cadre de la première phase du Projet d’appui au secteur des infrastructures au Gabon (Pasig -1) , qui impactera fortement les populations gabonaises . Il permettra aussi le développement prochain de la province de la Ngounié par la réduction des coûts de transport et de la durée , sur l’axe Libreville-Brazzaville (276 km) via les bourgades  de  Ndéndé-Doussala comme souhaité par le numéro 1 gabonais Ali BONGO ONDIMBA.

Pierre Brice OKANE OBAME

Source : Le Nouveau Gabon