Les veuves sont à l’honneur ce mercredi à l’occasion de la journée internationale de la veuve célébrée depuis le 23 juin 2011 grâce à une initiative de la Première dame du Gabon, Sylvia Bongo Ondimba, qui a permis que cette cause soit portée à l’ONU par la diplomatie gabonaise.
Le 23 juin 2011, nous célébrions la 1ère Journée Internationale des Veuves. Le résultat d’un plaidoyer porté au plus haut niveau par la Présidente de la Fondation, Madame Sylvia Bongo Ondimba.
Dans le monde, on recense près de 250 millions de veuves. L’occasion de rappeler qu’après avoir perdu leur conjoint, des millions de femmes dans le monde se trouvent, avec leurs enfants, dans une situation de grande détresse.
Cet événement, dont le but est de sensibiliser l’opinion et d’obtenir une meilleure défense des droits des veuves dans le monde est primordial à plus d’un titre. Aujourd’hui, 10 ans plus tard, la FSBO continue d’agir aux côtés des autorités publiques et des autres acteurs de la société civile, afin que leurs droits soient respectés.
Elles sont 250 millions dans le monde et plus de 100 millions d’entre elles vivent en-dessous du seuil de pauvreté. Discriminées, déshéritées, accusées de sorcellerie, expulsées du domicile conjugal, violées ou mariées de force à un autre membre de la famille, leur situation est souvent plus que désastreuse.
Il faut le dire qu’au Gabon, comme dans beaucoup de pays africains, les veuves sont souvent confrontées à la solitude et au rejet de la belle-famille. A travers cette journée la veuve peut se souvenir de ce qu’elle est et être remarquée dans la société.
Le Gabon s’est distingué dans le combat pour le changement de la condition des veuves. La Fondation Sylvia Bongo Ondimba, en particulier, s’est donné pour but de changer les mentalités et d’obtenir que les veuves soient mieux protégées.
N.O
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