L’histoire qui défraie actuellement la chronique sur la toile vient de trouver son épilogue. Judica Starla Moussavou ( 16 ans) et son frère Diang-Di-Nzaou Yves ( 22 ans ) seront officiellement libres dans quelques instants, apprend-on de sources sûres. La justice vient d’être rendue grâce à la forte mobilisation des populations et plusieurs hautes personnalités qui se sont insurgées contre la détention provisoire et « arbitraire » des deux ados. C’est un réel soulagement pour la famille de ces jeunes gabonais. Cette dernière n’a cessé de tirer la sonnette d’alarme afin que justice soit rendue. La détention provisoire des jeunes présumés coupables par le juge des mineurs a été très mal perçue par l’opinion publique qui a clairement manifesté son mécontentement. «Aucun enfant au monde ne mérite de passer les fêtes de fin d’année loin de ses parents dans des conditions qui peuvent le détruire moralement. Aucun enfant sur terre ne doit être exposé à voir sa vie détruite à cause d’un malentendu qui peut être réglé avec un simple coup de fil. Nous sommes en ce moment entrain de lutter contre les violences en milieux scolaires » a énoncé Marius Assoumou Ndong, président de l’UJPDG qui s’est mobilisé pour la libération de ces jeunes compatriotes. Comme autre implication importante, celle du président du Mouvement des Entrepreneurs Engagés Wabouna Hercule Nze Souala, qui a pris l’engagement de payer la prestation d’un avocat pour défendre les adolescents. Merci à la justice, à la hauteur de ce magistrat qui n’est pas à condamner car il faut comprendre sa version pour mieux apprécier ce dossier. C’est un père de famille et il a su bien agir pour le bien et l’avenir de nos compatriotes. Surtout merci à tous pour votre forte mobilisation… L’unité doit être notre partage quotidien car comme nous l’enseigne la plus haute autorité de notre pays, rien n’est plus important que l’intérêt supérieur de la Nation », a souligné Hercule Nze Souala contacté par notre rédaction. MENGUE]]>
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