Voici plus d’une semaine que les discussions des couloirs lambrissées n’ont plus ressemblé à des copies de sciences politiques. Une clarification s’impose. La confirmation de Brice Laccruche Alihanga, Directeur de cabinet du Président de la République a donné de tournis à ses pourfendeurs se voulant faiseur d’embarras. C’est un atlas de mensonges qui n’en finit pas de convoquer un scénario subtil, une histoire cousue de billevesées chroniques. Son cheval de bataille: promouvoir les jeunes. Ces affrontements biaisés visent l’ascension d’un homme à la fois travailleur, méthodique, tête pensante au cœur du dispositif exprimant la volonté du Président. Il est la force qui impacte tout l’arsenal mis en place. Typique du rajeunissement de l’appareil étatique, de la modernité des réformes avec une habileté de son parcours à l’Institut National des Sciences de Gestion, il détient un cursus qui n’est pas une image ou un cliché mais d’une éclatante intelligence en se servant des concepts éclectiques. Cette compétence fait partie de ce que lui demande le Chef de l’Etat. Et cet attachement rend noble, loin de l’amateurisme cruel des jaloux qui n’ont que l’instinct du mal pour se figer dans les camps. Par décret en date du 13 Janvier 2019, le plus efficace et le plus attentif à la promotion des jeunes est reconduit à ce poste stratégique, soucieux de l’édification d’un grand rassemblement capable de faire évoluer la jeunesse par la compétence. Ce faisant, il rompt avec les vieilles habitudes surannées qui limitaient le cercle du pouvoir aux mêmes personnages. Comme le pays a des priorités, c’est l’éloge de l’effort au travail pour ceux qui soutiennent la méthode de Laccruche Alihanga : l’abnégation, la persévérance à s’échiner en faveur de ses compatriotes pour ne pas légitimer les critiques. Les jeunes sont appelés à proposer une bonne articulation aidée de cela par le DC. Plus qu’un principe administratif, le DC place l’avenir des institutions avant les intérêts partisans en réponse à leur questionnement. Or, on peut utilement s’enrichir de sa haute pensée du fonctionnement des institutions et des acteurs qui allient qualités et excellence pratique pour en faire une référence ultime. Il n’est plus question d’afficher des airs du patriarcat, de tisser les intriques artificielles et de revendiquer un droit de regard de ce qu’ils n’ont plus. Encore plus odieux, ils accusent, invectivent, mentent comme des charretiers, et leur piège n’est plus redoutable. L’heure est au travail. Brice Laccruche Alihanga en est conscient de l’accélération de la transformation édictée par le Chef de l’Etat Ali Bongo Ondimba. Avec AfricTelegraph ]]>
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