En séjour dans la Ville de Makokou, province de l’Ogooué-ivindo, du 21 au 22 avril, le Président Ali BONGO ONDIMBA, en a profité pour échanger avec les cadres, les élus et les notables de la province au cours d’une audience à bâton rompu. Et prenant en compte l’ensemble des préoccupations des populations ogivines, l’une des plus urgentes fût celle du conflit récurrent Homme-faune. Notamment les pachydermes qui causent énormément de dégâts humains et matériels dans plusieurs villages de la province de l’Ogooué-Ivindo.
À cet effet donc, le point culminant aura été l’instruction faite aux membres du Gouvernement de protéger avant tout les populations dans le cadre du conflit Hommes-éléphants. En effet, si plusieurs kilomètres de barrières électriques sont actuellement installées dans plusieurs régions de la province de l’Ogooué-Ivindo, la présence des pachydermes qui investissement désormais les villages demeurent une véritable préoccupation.
Pour le Président de la République, il ne s’agit pas d’abandonner la protection des éléphants, tout le contraire, en leader de la protection de l’environnement, Ali BONGO ONDIMBA souhaite que les hommes et les animaux vivent chacun dans son milieu sans que l’un ni l’autre ne se sente menacé par l’activité de l’autre. D’où, la gestion forestière communautaire, qui permettra à long terme aussi, de protéger la faune de l’activité destructrice des hommes sur les forêts.
Herton-séna OMOUNGOU
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