La Direction Générale des caisses de stabilisation et de Péréquation (Caistab) a indiquée dans un libellé ce mardi 20 novembre 2018 que l’organisation Inter-Africaine de Café (OIAC) est une plateforme d’échanges entre les pays membres, dans le cadre des questions liées à l’industrie caféière. C’était à l’occasion des travaux de la 58ème assemblée générale de l’OIAC qui se tiennent à Libreville. Créée en 1960, l’OICA a pour objectif de relever les défis associés à la filière mondiale du Café à travers une coopération interafricaine. Son siège est à Abidjan en Côte d’Ivoire. C’est une plate-forme de discussion et d’échange entre les pays membres dans le cadre des questions liées à l’industrie Caféière. Elle permet d’étudier les problèmes communs relatifs aux cafés Africains et le renforcement de la collaboration avec les institutions nationales, sous régionales, régionales, internationales et multilatérales. L’OICA veut également assurer l’équilibre entre l’offre et la demande de café, en vue de garantir des prix rémunérateurs africains et pouvoir ainsi améliorer les conditions de vie des planteurs. L’organisation veut aussi promouvoir la consommation domestique du café, au niveau des pays africains producteurs et non producteurs, et encourage l’exportation de produits à valeur ajoutée vers les marchés traditionnels (Europe,Amérique du Nord). L’Assemblée Générale est l’organe suprême englobant tous les pays membres. Elle se réunit annuellement pour examiner l’état de l’organisation, se prononcer sur les grands enjeux et déterminer son orientation générale. L’OIAC dispose d’un comité Directeur composé de 7 membres élus chargés de définir les politiques à suivre par l’organisation et de se prononcer sur les questions d’ordre administratif. BESSEY]]>
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