En mettant en place en 2007 le régime obligatoire d’assurance maladie et de garantie sociale pour accompagner les populations gabonaises dans leurs dépenses de santé, le Gabon a ainsi réalisé une avancée majeure. Aujourd’hui, la Caisse Nationale d’Assurance Maladie et de Garantie Sociale (CNAMGS) est considérée comme l’élément moteur de la politique sociale du Chef de l’État et du Gouvernement gabonais. Ceci pourrait expliquer les différents mouvements stratégiques que l’on observe au sein de cette structure qui se veut de plus en plus compétente et opérationnelle. A l’instar de plusieurs pays référence en matière de santé en Afrique tels que : le Maroc, la Tunisie et la Mauritanie, l’État gabonais a décidé d’améliorer le bien-être de sa population en lui procurant une assurance maladie de pointe. Une rarissime action sociale car soulignons-le, le Gabon est le seul pays au monde à prendre en charge les populations les plus défavorisées. De ce fait, le gouvernement conduit par Emmanuel Issoze NGONDET sous la haute directive du Président Ali Bongo Ondimba, veille scrupuleusement à la bonne gestion de ce service afin d’assurer sa pérennité. Toute chose qui a récemment conduit les plus hautes autorités de la République à procéder lors du conseil des ministres du 12 avril dernier, à un important rafraîchissement de la ressource humaine de la CNAMGS. «Aussitôt le décret annoncé, la Direction générale, conformément aux instructions, a pris des mesures nécessaires pour que les passations se fassent dès le lendemain, dans le but de rentrer en fonction dès le 16 avril 2018. Pour cela, des mesures conservatoires d’usage ont été prises, pour garantir la confidentialité et assurer la bonne continuité du service», a confié une source qui requiert l’anonymat. Rédaction Focus News.]]>
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