Dans un événement troublant qui a choqué la communauté des affaires gabonaise, le bureau du Directeur Général de la Marine Marchande à Libreville a été vandalisé dans la nuit ernière . Les malfaiteurs ont pénétré dans les locaux, causant des dégâts importants et dérobant une somme considérable d’argent.
Le Déroulement des Faits:
Les images de la scène révèlent l’étendue des dégâts. La porte du bureau a été forcée, des documents et des dossiers ont été éparpillés sur le bureau et au sol, et des tiroirs de meuble ont été arrachés. Le Directeur Général de la Marine Marchande, Jean Cruz Lessagui, a découvert le désordre ce matin-là, décrivant un « décor et un emplacement différent de son espace de travail ».Les vandales ont emporté avec eux une somme de 800 000 francs CFA. L’incident soulève de sérieuses questions concernant la sécurité des lieux, d’autant plus que deux gardiens étaient présents sur le site au moment des faits. « Nous ne comprenons pas que le voleur soit rentré par le même passage et ressorti par le même passage, sans que nos deux gardiens ne soient au courant », a déclaré Jean Cruz Lessagui, exprimant sa perplexité.
Des Questions sur la Sécurité:
Selon les premières constatations, les intrus se seraient introduits par effraction. Il semblerait qu’ils aient utilisé une lampe torche récupérée dans le bureau de la secrétaire particulière du Directeur Général pour accomplir leur forfait. La direction avait initialement envisagé la possibilité qu’un document compromettant ait été visé, mais l’état des parapheurs, bien classés, tend à écarter cette piste. La principale motivation semble avoir été le vol d’argent.Cet acte de vandalisme a créé un environnement hostile pour le personnel et a mis en lumière des lacunes en matière de sécurité.
Jean Cruz Lessagui a souligné que cet événement les incitait à « vite déménager dans notre nouveau local qui comporte beaucoup, beaucoup d’aspects sécuritaires ». Une enquête a été ouverte pour décliner toutes les responsabilités dans cette affaire.L’incident de Libreville met en évidence la nécessité pour les institutions de renforcer leurs dispositifs de sécurité afin de prévenir de tels actes criminels et de protéger leurs biens et leur personnel.
La Rédaction


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