Une récente vidéo, capturée discrètement par Noureddin Bongo Valentin peu avant que lui, sa mère Sylvia Bongo, et son père Ali Bongo Ondimba n’obtiennent l’autorisation de quitter le Gabon pour raisons médicales, vient apporter un éclairage décisif sur les événements du 30 août 2023. Contrairement à la thèse d’une simple « révolution de palais » avancée par certains, ces images virales confirment la nature de véritable « coup de libération » de l’intervention militaire.
La séquence, enregistrée en présence d’avocats d’État et du procureur général, révèle Ali Bongo Ondimba affirmant que de nombreux biens matériels et financiers lui auraient été confisqués. Cette déclaration capitale mettrait en lumière le caractère de garantie et de restitution à l’État gabonais des biens en question, et non un simple transfert à d’autres individus du régime. Elle renforce ainsi l’idée que le mouvement du 30 août visait à recouvrer la souveraineté économique et nationale.Cette information fait écho aux procédures judiciaires en cours. En France, la justice a en effet saisi des biens d’une valeur de 70 millions d’euros dans le cadre de l’affaire des « biens mal acquis », impliquant notamment le clan Bongo.
Cette coïncidence de procédures nationales et internationales contre Sylvia Bongo et Noureddin Bongo Valentin semble confirmer la volonté de l’État de faire la lumière sur la gestion passée des ressources nationales, appuyant la désignation populaire d’un « coup de libération ».Face aux allégations mensongères avancées depuis plusieurs mois par des pseudos activistes et certains hommes politiques affirmant qu’il s’agissait de révolution de palais, cette vidéo montre bien que le coup de libération du Gabon est un acte grand et réel qui a permis d’instaurer une nouvelle République Gabonaise.


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