Brice Clotaire Oligui Nguema, a marqué un pas décisif dans la relance économique du Gabon en procédant au règlement d’une partie substantielle de la dette extérieure du pays, pour un montant total dépassant les 28,3 milliards de FCFA. Cet engagement fort est perçu comme une volonté politique d’instaurer une nouvelle ère de rigueur, de transparence et de responsabilité financière.
Depuis son arrivée à la tête de l’État, le Président Oligui Nguema a érigé le redressement économique et la restauration de la crédibilité internationale en priorité nationale. Le décaissement de près de 29 milliards de FCFA s’inscrit dans cette dynamique, visant à honorer les engagements du pays et à assainir ses finances publiques face aux partenaires internationaux.Ce geste, au-delà de sa portée strictement financière, est un signal politique clair adressé à la communauté internationale. Il traduit une vision souveraine et responsable, plaçant la crédibilité de l’État gabonais au cœur de la Transition.Le montant total de 28 311 057 972 FCFA a été versé aux principaux bailleurs de fonds, dans une démarche de redevabilité inédite.
Les montants réglés se répartissent comme suit :12,347 milliards de FCFA à la Banque Africaine de Développement (BAD)8,835 milliards de FCFA à l’Agence Française de Développement (AFD)4 milliards de FCFA au Fonds Monétaire International (FMI/DTS)2,203 milliards de FCFA à la Banque MondialeDes montants moindres ont également été réglés à la BEI/FED, au FIDA et à la BADEA.En effectuant ces règlements massifs, Brice Oligui Nguema démontre que le Gabon est désormais un partenaire fiable et crédible. Cette opération est une étape majeure dans un plan global de redressement qui s’articule autour de trois piliers stratégiques : la création de valeur nationale, la diversification économique et la bonne gouvernance.
Le Gabon se repositionne ainsi comme un acteur respecté en Afrique centrale. Ce règlement, inédit par son ampleur, est le prélude à une nouvelle ère de stabilité économique, où la transparence est la clé d’une croissance durable.
La Rédaction


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