C’est une nouvelle pour le moins accueillie avec beaucoup d’enthousiasme par les populations,qui se retrouvaient le plus souvent soit sans eau soit sans électricité mais avec des factures lourdes à payer. Une situation qui cause parfois des pertes matérielles surtout quand il s’agit de coupures de courant.
Maintenant la donne à changer et la population pourrait désormais bénéficier de l’eau et de l’électricité en toute tranquillité car l’Agence de régulation du secteur de l’eau potable et de l’énergie électrique (ARSEE) et l’État prévoient désormais frapper dans le portefeuille de la SEEG en cas de coupure d’eau et d’électricité non explicitée. Les sanctions seront prises s’il est démontré que c’est du fait de la SEEG,soit de son outil de production,soit de sa distribution et sur des éléments qu’elle aurait pu anticiper , a déclaré le ministre d’Etat en charge de l’Énergie et des ressources hydrauliques, Alain-Claude Bilie-By-Nze.
À travers cette clause portant sur la nouvelle convention qui vient d’être signée, les autorités gabonaises veulent protéger les consommateurs des abus de la SEEG, a également notifié le membre du gouvernement.
Rappelons tout de même que cette nouvelle initiative fait son apparition après la signature il y’a quelques jours par le gouvernement et la société SEEG d’une convention de concession de 20 ans.
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