Une affaire digne d’un polar secoue le Centre National des Œuvres Universitaires (CNOU). Dans la nuit du 15 au 16 novembre, l’établissement a été la cible d’un cambriolage spectaculaire, survenant moins de 48 heures après une réunion interne houleuse, menée par la nouvelle Directrice Générale, Zora Kassa épouse Nzigou.La veille du vol, la Directrice Générale avait convoqué les responsables pour présenter les premières conclusions d’un audit interne.
Selon nos informations, cette réunion a révélé des « irrégularités graves » et des « dysfonctionnements financiers » majeurs, pointant du doigt des pratiques de gestion opaques au sein de l’organisme chargé de la vie étudiante. La mise en cause de certaines directions, selon des sources internes, aurait créé une tension palpable.L’enquête s’oriente rapidement vers l’hypothèse d’un sabotage délibéré. Les malfaiteurs n’ont pas agi au hasard ; ils ont ciblé de manière précise les bureaux de deux directions qui auraient été spécifiquement épinglées lors de la réunion par Mme Kassa Nzigou. Des documents sensibles et des preuves potentielles des malversations auraient été dérobés, soulevant la crainte d’une tentative d’entraver les audits et de faire disparaître des éléments de preuve cruciaux.
La Direction Générale, qui venait d’entamer une démarche de transparence et de restauration de la confiance des étudiants et du public, est désormais face à une résistance musclée. »C’est une tentative claire de nous intimider et de paralyser le processus de réforme, » a confié une source proche de la DG. Néanmoins, la détermination de Zora Kassa épouse Nzigou à assainir les finances du CNOU et à garantir de meilleures conditions de vie aux étudiants resterait intacte.Une enquête judiciaire a été immédiatement ouverte pour élucider les circonstances de ce vol. Le mystère s’épaissit autour du CNOU, et les prochaines semaines promettent d’être riches en révélations. Les étudiants et l’opinion publique attendent désormais que toute la lumière soit faite sur cette affaire.


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