La comédienne gabonaise, Emeraude du « Journal d’Emeraude » a remporté le 1er prix « Cinéma au Féminin » avec son film « Stérile » lors de la 4ème édition du Festival international du court-métrage d’Afrique centrale(Festiciné).
Ce festival qui s’est déroulé au Gabon, a eu lieu du 09 au 12 décembre 2020. C’est donc le film « Stérile » de la gabonaise, Martine Myphe Lomba alias Emeraude qui a retenu l’attention du jury au festival international du court-métrage d’Afrique Centrale (Festiciné) parmi tant d’autres.
Ce sont au total 11 pays africains qui ont été représentés cette année au Festiciné. Celle qu’on surnomme « le diamant » a donc brillé par son film « Stérile » en remportant le 1er prix. Il faut dire que les réalisateurs Gabonaises ont largement dominé cette compétition. À commencer par Martine Lomba plus connue sous le pseudo D’ÉMERAUDE ( Le journal d Émeraude) qui remporte le 1er prix « Cinéma au Féminin » pour le film « Stérile », par la suite, la jeune Charlène Mbenga (actuellement à l’affiche du film « TCHIZA » de Bob Inanga), qui remporte le 2ème prix « Cinéma au Féminin » pour le film « Secret *. La web-série « Les Gos Bitomes » de Cydrine Zang et Elvira Obame doublement récompensée ( Prix de la meilleure web série et prix du Public), le prix du meilleur film documentaire revient à Endambo Makata pour  » Immersion dans l’univers de la N’Tcham au Gabon » et Pauline Mvele remporte celui du meilleur Court métrage Gabonais ( PROCIGA) pour le film « ELIAS » qui met en vedette Aïsha Yamav ( Parents Mode d’emploi /Si loin… Si près).
« J’ai l’honneur de vous annoncez que j’ai présenté Sterile mon court métrage que vous connaissez tous à la quatrième édition d’un concours cinématographique, Festival International Du Court Métrage D’afrique Centrale pour la première fois au Gabon et j’ai eu le PREMIERPRIX du cinéma au féminin. Merci à vous mes Diamants pour le soutien, pour les encouragements »a-t-elle posté sur sa page Facebook.
S’agissant de « stérile » ici, la jeune gabonaise veut montrer que la stérilité des femmes est partout stigmatisante, particulièrement en Afrique où il n’est pas bien vu de ne pas procréer ; la responsabilité en incombe à la femme, tout en dénonçant aussi l’infécondité masculine qui est désormais connue.
Commentaires