À l’approche de l’audit de l’Organisation de l’Aviation Civile Internationale (OACI), prévu du 21 au 31 juillet 2025, le Gabon intensifie ses efforts pour garantir la conformité de son secteur aéroportuaire. Dans cette optique, Ulrich Manfoumbi Manfoumbi, Ministre d’État, Ministre des Transports, de la Marine Marchande et de la Logistique, a récemment entrepris une série d’immersions stratégiques au sein des principales entités du domaine.
Ces visites préparatoires ont mené Manfoumbi Manfoumbi au cœur de l’Office National de la Sûreté et de la Facilitation de l’Aviation Gabonaise (ONSFAG), de l’Agence pour la Sécurité de la Navigation Aérienne en Afrique et à Madagascar (ASECNA), de GEZ AIRPORT, de HPG, et de l’Agence Nationale de l’Aviation Civile (ANAC). L’objectif de ces immersions est clair : évaluer sur le terrain l’état de préparation de ces structures aux exigences strictes de l’OACI.L’audit de l’OACI est un exercice essentiel qui vise à vérifier que les États membres respectent les normes et pratiques recommandées en matière de sécurité et de sûreté de l’aviation civile.
Pour le Gabon, cet audit représente une opportunité de confirmer son engagement envers l’excellence opérationnelle et de renforcer la confiance des partenaires internationaux.Au cours de ses visites, Ulrich Manfoumbi Manfoumbi a pu interagir directement avec les équipes, examiner les procédures en place, identifier les points forts et, le cas échéant, les axes d’amélioration. Cette approche proactive est cruciale pour anticiper les potentielles lacunes et mettre en œuvre les correctifs nécessaires avant l’arrivée des auditeurs internationaux.Les conclusions de ces immersions permettront à l’ANAC, en sa qualité d’autorité de régulation, de peaufiner sa stratégie et de s’assurer que tous les acteurs du ciel gabonais sont prêts à démontrer leur conformité aux standards internationaux les plus élevés.
L’enjeu est de taille : la sécurité des passagers, la fluidité du trafic aérien et la réputation du Gabon sur la scène aéronautique mondiale.Le secteur de l’aviation civile gabonaise s’attèle donc avec détermination à cette échéance cruciale, avec la ferme intention de réussir cet audit et de continuer à garantir un espace aérien sûr et efficace à plus de 85%.
La Rédaction
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