«Améliorer la qualité de la dépense publique pour favoriser une croissance inclusive». Voici l’intitulé de la revue de l’institution financière internationale. Selon la coordinatrice des programmes du secteur développement humain, Carine Clert, le rapport comprend des analyses portant sur l’investissement public et la masse salariale de la fonction publique. Il analyse également la composition et l’évolution des recettes non pétrolières et passe en revue les dépenses publiques en matière d’éducation, de protection sociale et de santé, qui sont présentées comme les secteurs prioritaires pour le développement socioéconomique et la réduction de la pauvreté.
Pour la Banque Mondiale, le gouvernement doit réaffecter les ressources de l’administration publique vers les secteurs des affaires économiques, du logement, de la santé, de l’éducation et de la protection sociale afin de mettre à jour le plan national d’infrastructures pour assurer une plus grande cohérence entre les plans sectoriels.
Par ailleurs, l’Etat devrait augmenter les dépenses publiques en matière d’éducation, accroître la part des dépenses allouées à l’enseignement primaire et secondaire, améliorer la gouvernance de l’enseignement technique et la formation professionnelle, ainsi que celle des établissements de l’enseignement supérieur.
AIL
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