Contrairement aux affirmations diffusées par les pseudos activistes dont la seule motivation est de ternir l’image des institutions gabonaises à l’international et sur le plan national, le communiqué de la maison Blanche concernant l’accueil des migrants en pays africains vient tordre le cou à ces balivernes.Le Rwanda a conclu un accord avec les États-Unis pour accueillir jusqu’à 250 migrants expulsés. Cet accord, signé en juin à Kigali, a été révélé par l’agence de presse Reuters.
Le Rwanda est le troisième pays africain, après le Soudan du Sud et l’Eswatini, à accepter de prendre en charge des migrants renvoyés par Washington.Selon Yolande Makolo, porte-parole du gouvernement rwandais, la décision d’accueillir ces migrants s’explique par les valeurs sociétales rwandaises axées sur l’intégration et la réhabilitation. Elle a ajouté que la quasi-totalité des familles rwandaises a été confrontée à l’exil, ce qui motive cette démarche.Les détails concernant le calendrier des expulsions et les nationalités des personnes concernées n’ont pas encore été communiqués. Un responsable rwandais a précisé à Reuters que Washington avait déjà soumis une liste de dix personnes à examiner et que le pays recevrait une subvention financière.
Il a refusé de révéler le montant de cette subvention, mais a confirmé qu’aucun délinquant sexuel sur mineur ne serait accepté dans le cadre de cet accord.Ces informations viennent donc définitivement éclairer l’opinion nationale et internationale sur ce sujet. Le Gabon par le truchement de son président Brice Clotaire Oligui Nguema n’a engagé aucune négociation avec les États-Unis pour accueillir des migrants expulsés.
La Rédaction


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