Depuis plusieurs semaines le porte-parole de la Présidence de la République est victime d’une cabale sans fin de la part d’une certaine classe de journalistes en manque de sujets d’informations utiles pour leurs lecteurs qui souhaitent lire des articles pertinents sur l’actualité du moment.
Peu soucieux de leurs lignes éditoriales et de l’éthique du métier de journaliste qui consiste à donner l’information juste, sans aucune subjectivité et sans déformation aucune, plusieurs médias gabonais de la presse en ligne ont choisi de s’en prendre sans raison valable au nouveau porte parole de la Présidence de la République en diffusant des articles diffamatoires à charge contre ce dernier qui circulent sur plusieurs groupes whattsapp et facebook.
Leur frustration a définitivement pris le déçu sur leur ‘’professionnaliste’’ depuis que le comité de pilotage et de riposte contre le coronavirus au Gabon a lancé son célèbre point de presse quotidien afin de dresser le bilan de l’évolution de la pandémie au Gabon.
Ce rendez-vous entre la presse locale et le Dr Guy Ptrick Obiang Ndong , le porte-parole du COPIL et secrétaire général du ministère de la santé est réservé à un nombre de média choisis par ledit comité et ses équipes de communication afin d’informer le grand public. N’ayant pas la bonne information ou l’accès à cette conférence de presse, plusieurs médias en ligne accusent sans aucune preuve à l’appui le porte-parole de la Présidence d’être à l’origine de cette exclusion volontaire qui selon eux met en mal la presse privée au Gabon.
Par conséquent, plusieurs sites internet d’informations généralisées ne passent plus un jour sans publier des ‘’ papiers calomnieux’’ contre Jessye Ella EKogha qui selon nos informations auprès des équipes du COPIL n’est en rien responsable de la communication de la crise sanitaire que connaît actuellement le Gabon. Dans un article intitulé « le peuple gabonais demande la démission de Jessy Ella Ekogha’’ ont a pu lire des ‘’choses’’ qui frisent le ridicule et le manque de compétence aggravés chez certains ‘’ confrères’’ de la presse en ligne qui pourraient subir dans les tous prochains jours des sanctions de la part de la haute autorité de la communication ( HAC).
Des faits graves, des fausses accusations volontaires, des injonctions et même souvent des insultes apparaissent dans ces articles qui pourraient entrainer leurs auteurs devant la justice si le concerné décide de poursuive ses ‘’ détracteurs journaleux’’ en justice pour atteinte à la dignité, injures publiques et même pour fausse accusation.
Si jusque là , le Porte Parole de la Présidence de la République n’a pas réagit à ces fausses allégations, il a été aperçu sur le terrain il y a moins de deux jours avec les équipes de la Présidence de la République afin de s’assurer de l’effectivité de la distribution des bons d’achats alimentaires et des kits aux populations concernées par cette grande campagne de solidarité initiée par Ali Bongo Ondimba.
Pour revenir sur ces attaques, selon des sources sûres, plusieurs amateurs de la profession pensaient obtenir à travers cette crise sanitaire des budgets de communications injustifiés afin de communiquer ‘’ les yeux fermés’’ sans aucune véritable analyse et recherche professionnelle sur le COVID-19.
Au Gabon, la presse privée vit généralement des publicités et des contrats de diffusion d’articles d’entreprises. Plusieurs médias comme GabonReview, GabonMatin et bien d’autres sont des exemples en la matière. Comme quoi, un petit groupe souvent pas en règle a décidé de s’inscrire de le ‘’ journalisme du chantage’’, celui-ci consisterait à faire chanter via des articles à charge des personnalités publiques importantes afin de se faire de l’argent facile.
Depuis son arrivée à la Présidence de la République, Jessye Ella Ekogha a initié plusieurs rencontres avec les médias afin de présenter la nouvelle vision de la Présidence aux hommes des médias. Cette démarche innovatrice avait été saluée par un grand nombre de journalistes professionnels qui estiment que la communication autour du covid-19 au Gabon ne devrait pas être obligatoirement une affaire d’argent car le rôle des médias est d’informer, d’éduquer et de distraire mais pas de déformer et faire du chantage à des honnêtes citoyens.Â
Focus Groupe Média
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